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Tous à Daesohnan louent l’Hélériaste.
Elle était l’Élue : elle a réalisé la Grande Quête, sauvé le monde du Mal, fondé Daesohnan.
Immortelle, elle règne sur ses terres et bénit les habitants de sa grâce.
L’Hélériaste est telle une Déesse. Personne ne doute d’elle.
Personne.
Le destin d’Elienor est tout tracé. Jamais son avenir ne déviera : elle en est certaine. Elle sera érudite, travaillera au gouvernement, fera honneur à sa nation.
Lorsqu’elle rencontre Léandre, tout s’écroule. Elle est perdue, en colère. Sa vie s’éffondre.
Et si son nouveau compagnon forcé n’était pas la véritable menace ?
Élève brillante à la Haute-école de Daesohnan, Elienor se prépare déjà à devenir érudite.
Qu’importe que ses parents ne soient pas ses parents, que ses sœurs biologiques la détestent sans raison ou qu’elle se réveille un matin, sale et blessée, sans aucun souvenir de la veille. Elle ne permettrait à personne de faire dévier son avenir du chemin calme et linéaire qu’elle a tracée elle-même à coup d’efforts et de révisions acharnées.
La pierre qui la fait trébucher s’appelle Léandre et immédiatement, elle se méfie de lui. L’éboulement qui met fin à ses rêves est l’Hélériaste en personne, héroïne de la Grande Quête passée et dirigeante immortelle de Daesohnan.
Devenue malgré elle une Dyade, le symbole de la puissante magie qui a permis à l’Hélériaste de triompher sur le Mal, elle se retrouve liée à un inconnu et entraînée dans une vie de cour et de complots dont elle n’espère que se défaire.
Et si la vrai menace n’était pas la plus évidente ?
Dyade est une saga de trois tomes
C’est une fantasy en un seul point de vue
L’idée première de la saga me vient d’un rêve que j’ai fait il y a plus de 10 ans
Elienor est mon héroïne qui me ressemble le plus
Il y a presque 10 ans, j’ai fait un rêve. Un rêve simple mais marquant : une jeune femme étrangement attirée par une silhouette, qu’elle découvre être un jeune homme inconnu. Une seconde rencontre lui fait perdre la mémoire et elle doit attendre plusieurs jours avant que les souvenirs ne la frappent et la retournent.
Ce matin là, j’étais déjà décidée à en faire un roman. Des années sont passées et, au nouvel an 2020, de nouvelles scènes se sont ajoutés dans mon esprit. C’était décidé : j’allais enfin écrire cette saga.
Je suis contente de me rendre compte que, même si l’intrigue et l’enchainement des scènes a bien changé, l’essence de mon rêve de gamine est restée dans cette saga. C’est un peu un petit hight-five à la Lysandre de 12 ans qui se disait “ça serait un chouette roman mais je n’arrive jamais à finir mes histoires”.
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